Questões de Língua Francesa

D’après le texte presenté, jugez les items ci-dessous.

La proposition du ministre de l’éducation vient de la constatation des bons résultats des copies de philosophie au baccalauréat.

• C. Certo
• E. Errado

Texte VI, pour répondre aux questions de 31 à 35.

Sur le plan linguistique et grammatical, marquez l’option correcte.

• A.

  Comme présenté dans la proposition “Suis pas chic et mignon parce que suis poursuivi par les gnamas de plusieurs personnes” (lignes 1 et 2), le français standard permet l’omission du sujet à la langue écrite.

• B.

  “Un vrai enfant nègre noir africain broussard” (lignes 15 et 16) est une proposition nominale.

• C.

  L’adjectif “ broussard ” (ligne 16) peut être remplacé par citadin sans changer le sens de la proposition.

• D.

  Dans cet emploi de la troisième personne, “Le gosse, il courait” (ligne 17), le narrateur fait référence à un autre personnage du roman.

• E.

  Dans, “Avant tout ça” (ligne 18), “ça” est une contraction de “celle-là”.

Texte VI, pour répondre aux questions de 31 à 35.

Sur le plan linguistique et grammatical, marquez l’option correcte, toujours en considérant le texte.

• A.

  Dans “On appelle ça la vie avant la vie” (ligne 23), le pronom personnel “On” montre qu’il s’agit d’un narrateur de troisième personne.

• B.

  La fonction de l’imparfait dans le récit présenté ci-dessus est de marquer un temps achevé dans le passé, car Birahima ne vit plus au Liberia.

• C. Kourouma fait une utilisation particulière de l’imparfait de l’indicatif, car ce temps verbal n’est pas un des temps du récit.
• D.

  L’adjectif “chic” (ligne 1) peut être remplacé par bien habillé sans changer le sens ni la correction grammaticale de la phrase.

• E.

  L’emploi du passé composé dans le récit montre qu’il y a une relation étroite entre celui qui parle et les évènements racontés.

Texte VII, pour répondre aux questions de 36 à 39.

Sur le plan linguistique et grammatical, toujours en considérant le texte, marquez l’option correcte.

• A.

  Le mot “atouts” (ligne 29) peut être remplacé par inconvénients, sans changer le sens ni la correction grammaticale de la phrase.

• B.

  La forme verbale “subissent” (ligne 7) est au présent du subjonctif.

• C.

  “époque charnière” (lignes 24 et 25) veut dire époque de transition.

• D.

  “Certains linguistes avancent” (ligne 3) peut être remplacé par certains linguistes nient sans changer le sens de la phrase.

• E.

  L’adjectif “massive” (ligne 26) peut être remplacé par excessive sans changer le sens de la phrase.

Texte IX, pour répondre aux questions de 44 à 50.

Dans l’expression “de tout ce qui en fait l'esprit” (ligne 3), "en”

• A.

  exerce la même fonction syntaxique que dans les expressions “en elle” (ligne 3) et “en son temps” (ligne 6).

• B.

  est un pronom personnel qui renvoie à l’expression “un bien précieux, sa langue” (lignes 1 et 2).

• C.

  exerce la fonction syntaxique de complément d’objet direct.

• D.

  est placé avant le verbe, car, dans une suite de pronoms, "en“ est toujours placé en premier.

• E.

  est un pronom personnel dont la fonction est remplacer l’expression de la communauté.

Texte IX, pour répondre aux questions de 44 à 50.

Considérant la structure linguistique et grammaticale du texte ci-dessus, marquez l’option correcte.

• A.

  L’inversion sujet-verbe dans la proposition “où du moins la considère-t-on comme telle” (ligne 37) prouve qu’il s’agit d’un énoncé interrogatif.

• B.

  Dans “Ce qui l’identifie” (ligne 40), ”qui” exerce la fonction d’objet direct.

• C.

  Dans “La langue française, de par son passé” (lignes 32 et 33), ”de par” peut être remplacé par bien que, sans changer le sens de la phrase ni la correction grammaticale.

• D.

  L’expression “Mais encore faut-il qu'elle soit vivante” (ligne 35) traduit une idée de conséquence.

• E.

  Dans “la manière dont on en fait usage” (ligne 43), “dont” est un pronom relatif qui sert à relier une proposition correspondant à un complément introduit par “de”.

Texte IX, pour répondre aux questions de 44 à 50.

D’après le texte,

• A.

  le passé simple est surtout employé dans la langue écrite et, dans les récits, comme les romans, les contes et les fables.

• B.

  le pluriel des adjectifs en al doit être obligatoirement enseigné aux enfants pour préserver la langue française.

• C.

  la langue française a cessé d’évoluer comme le montre le cas de l’usage du passé simple par les adultes.

• D.

  l’enseignement du français a pour mission de faire les enfants employer le passé simple à l’écrit et à l’oral.

• E.

  la préservation de l’essence de la langue française passe par l’empêchement de son évolution.

Texte IX, pour répondre aux questions de 44 à 50.

Considérant la structure linguistique du texte ci-dessus, marquez l’option correcte.

• A.

  A) “pourtant” (ligne 58) peut être remplacé par donc.

• B.

  L’expression “tombés en désuétude” (ligne 53) signifie être toujours en usage.

• C.

  Les formes verbales “saura” (ligne 68) et “vaincra” (ligne 69) sont au futur antérieur.

• D.

  La conjonction “pour que” dans “Comment faudrait-il les enseigner pour qu'ils soient à nouveau en usage?” requiert l’emploi du subjonctif.

• E.

  Dans "La langue française est vivante" (lignes 36 et 37 ) "vivante" est un adverbe invariable.

Texte IX, pour répondre aux questions de 44 à 50.

Considérant la structure linguistique et grammaticale du texte ci-dessus, marquez l’option correcte.

• A.

  Dans la proposition “considérons” les pluriels des adjectifs en -al” (ligne 63), la forme verbale “considérons” est au mode impératif.

• B.

  Dans “les histoires qu'on leur lit” (ligne 57), “leur” est un adjectif possessif.

• C.

  La proposition “il importe qu'elle ne perde jamais son identité” (ligne 48) est une proposition restrictive.

• D.

  Dans “Et si elle l'est, c'est qu'elle s'adapte à son temps” (lignes 37 et 38), “l’” est un article défini qui occupe la fonction d’objet indirect, car il est placé avant le verbe.

• E. D’après l’usage que l’auteur fait dans le texte des vocables “lien” (ligne 2) et “liant” (ligne 15), ils possèdent le même sens, et peuvent être échangés dans les sentences dans lesquels ils apparaissent sans changer le sens de la phrase.

Texte IX, pour répondre aux questions de 44 à 50.

Par rapport à l’usage des formes verbales dans le texte et en général dans la langue française, marquez l’option correcte.

• A.

  Dans “faudrait-il” (ligne 54), le verbe falloir est au présent du subjonctif.

• B.

  L’infinitif de la forme verbale fit dans “Babel en fit l’expérience” (ligne 6) est faire.

• C.

  Dans “cette communauté ne vit plus” (lignes 3 et 4), le verbe vivre est à la troisième personne du singulier du passé simple.

• D.

  Les formes verbales “s’instaure”, “s’installent” et “s’insinuent” (lignes 7 et 8) sont réflexives et sont toutes les trois conjuguées à la troisième personne du pluriel du présent de l’indicatif.

• E.

  Venir et devenir sont des verbes du deuxième groupe et sont conjugués comme finir.